Chistophe willem : la tortue
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Chistophe willem Né le 3 août 1983 à Enghien-les-Bains, il grandit à Deuil-la-Barre dans le Val-d'Oise. Enfant, il suit des cours de piano de
sept à quatorze ans, puis se consacre au chant jazz pendant trois ans, et
ensuite au gospel et au blues pendant
deux ans. Surnommé « la tortue »
comme le titre d’une de ses chanson,
par Marianne
James (à cause ou
grâce) à sa façon de se tenir et son pull à rayures vertes.
Paroles de la
chanson : « la tortue »
On m'appelle la tortue
Et je commence à m'habituer
Peut-être pour mon dos courbé
Ou ma bouche ou je ne sais
Qu'on m'appelle la tortue mais
Ce n'est pas pour se moquer
Ni pour me torturer
Que je suis ainsi surnommé
La tortue
Si on m'appelle la tortue
Ce n'est pas pour la laitue
C'est que j'avance autrement
Lentement mais sûrement
Si on m'appelle la tortue c'est
Qu'on veut me caresser, c'est
C'est qu'on veut bien m'embrasser
Sur le bout de mon nez
La tortue
On m'appelle la tortue
Et je commence à m'habituer
A m'habituer à l'idée
D'une maison à transporter
On m'appellera la tortue pour
Pour au moins quelques années
Et on sait que les tortues
Vivent des milliers d'années
La tortue
On m'appelle la tortue
Et c'est une super idée
La tortue ....
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Lien pour la vidéo la tortue : http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=gnkjUBtmW2w
Analyse :
Chritophe willem signe avec la tortue une chanson de variétés françaises,
très influencée par le jazz :
-sons d’orgue de jazz au synthé sur des accords syncopés (décalés par rapport à la pulsation)
qui créent du swing.
- les accords font entendre des dissonances de7è et de 9è qui évoquent des
couleurs acidulées et jeunes qui correspondent aux propos légers et
décontractés du texte chanté.
- un chœur féminin relaye le synthé en reprenant ces mêmes accords
syncopés une boite à rythme (claps et grosse caisse) dynamise le swing (envie
de danser).
Louise 6°6